S'informer

Card image cap
Baromètre DLT/Asterès T3 2024

Solutions Manutention N°67 - janvier/février 2025 >>

La manutention et la location continuent d’enregistrer une forte croissance en glissement annuel, tandis que la distribution enregistre une nouvelle fois un recul d’activité. Après un premier recul au trimestre précédent (-7,9%), la distribution de matériel de BTP poursuit très fortement sa chute au troisième trimestre avec une baisse de -15%. La croissance des entreprises de la location de matériel de BTP accélère, à +6,4% en glissement annuel, dans la continuité du deuxième trimestre qui avait enregistré une croissance annuelle de +5,4%. En glissement trimestriel, la croissance du secteur de la location au T3 2024 est légère puisqu’elle s’élève à +1,1%. Enfin, les entreprises de distribution-location de matériel de manutention industrielle et agricole confirment une nouvelle fois leur dynamisme avec une croissance annuelle de +12,3% au troisième trimestre 2024. Le recul de -0,9% enregistré en glissement trimestriel s’explique davantage par les résultats exceptionnels de début d’année que par des résultats décevants ce trimestre, indiquant un retour à la normale.

Les facteurs ayant influencé l’activité ce trimestre.

Plusieurs entreprises répondantes citent toujours la météo comme facteur impactant leur chiffre d’affaires. Malgré une communication positive de la part du gouvernement relevée par certaines entreprises, la majorité citent l’environnement économique et politique compliqué pour le secteur du BTP et notamment des appels d’offre plus faibles qu’à l’accoutumé. Les vacances d’été sont aussi invoquées par certaines entreprises pour justifier une activité plus ralentie pour ce troisième trimestre.

Les entreprises de DLR restent inquiètes concernant l’avenir du secteur

Les entreprises se disent inquiètes pour ce qui est du niveau global d’activité du secteur. Le seul point positif est le décalage de l’activité vers l’achat d’occasion et la maintenance qui est relativement plus importante du fait de la volonté des entreprises d’augmenter la durée de vie de leurs machines. La problématique du recrutement n’est plus d’actualité, les intentions d’embauches chutant fortement. De même les projections d’investissement sont à la baisse. Les prévisions d’activité pour les entreprises du secteur du matériel de manutention sont également en fort replis, contrairement à celles de la distribution et de la location de matériel de BTP qui sont légèrement plus confiantes que le mois dernier. ● La Fédération DLR représente, promeut et défend les intérêts des entreprises des secteurs de la distribution, de la location et de la maintenance des matériels de construction et de manutention.

Card image cap
Baromètre DLT/Asterès T2 2024

Solutions Manutention N°66 - novembre/décembre 2024 >>

La manutention et la location enregistrent une forte croissance en glissement annuel, tandis que la distribution enregistre un recul d’activité.

La manutention confirme, la location rebondit et la distribution replonge

La distribution ne confirme pas le rebond enregistré le trimestre précédent : le chiffre d’affaires des entreprises de distribution de matériel de BTP diminue de -6,7% ce trimestre en glissement annuel, après une hausse de +1,1% au premier trimestre. En glissement trimestriel, le chiffre d’affaires de la distribution diminue de -7,9%. La croissance des entreprises de la location de matériel de BTP accélère fortement, à +5,4% en glissement annuel, après un début d’année historiquement faible, à +0,9%. En glissement trimestriel, la croissance du secteur de la location au T2 2024 est encore plus dynamique, à +8,3%. Enfin, les entreprises de distribution-location de matériel de manutention industrielle et agricole confirment toujours leur dynamisme avec une croissance annuelle de +14,9% au deuxième trimestre 2024. Le recul de -4,6% enregistré en glissement trimestriel s’explique davantage par les résultats exceptionnels du trimestre précédent que par des résultats décevants ce trimestre.

Les entreprises interrogées sont mitigées quant aux facteurs ayant influencé leur activité ce trimestre.

Plusieurs entreprises répondantes citent les Jeux Olympiques de Paris parmi les facteurs ayant influencé positivement leur activité au deuxième trimestre 2024 et craignent le contrecoup des JO les trimestres suivants. Comme au trimestre précédent, la météo n’a pas joué en faveur des entreprises de DLR au deuxième trimestre, avec de nombreuses intempéries gênant l’activité. Dans l’ensemble, les entreprises déplorent un climat économique défavorable dans le BTP, ce qui semble confirmé par les données conjoncturelles, avec l’indice du climat des affaires dans ce secteur se situant en-dessous de sa moyenne historique.

Les entreprises de DLR ont les yeux rivés sur l’activité politique dont le dénouement aura de l’influence sur leur activité aux prochains trimestres.

Les problématiques qui faisaient partie des préoccupations principales des entreprises en 2023, notamment la hausse des taux, les difficultés de recrutement et d’approvisionnement, ne sont plus du tout mentionnées, avec un progressif retour à la normale de la conjoncture. En revanche, une proportion significative des entreprises répondantes se dit préoccupée par l’instabilité politique et l’incertitude économique qui en découle, notamment en termes de fiscalité et de soutien aux entreprises. Les anticipations d’activité pour le prochain trimestre sont ainsi en berne dans tous les secteurs et les intentions d’investissement des entreprises de la distribution et de la location diminuent. ● La Fédération DLR représente, promeut et défend les intérêts des entreprises des secteurs de la distribution, de la location et de la maintenance des matériels de construction et de manutention.

Card image cap
Projet d’IA embarquée par Savoye et HawAL.tech

Solutions Manutention N°65 - septembre/octobre 2024 >>

C’est à l’issue du discours du Président de la République, Emmanuel Macron, à l’événement VivaTech que les 8 lauréats de l’appel à projets "IA embarquée" du programme France 2030 ont été dévoilés. Parmi les sélectionnés, le projet Mopsos conduit par Savoye et HawAI.tech. Mopsos entend associer l’intelligence artificielle probabiliste et l’industrie en donnant naissance à un démonstrateur d’applications autour de la maintenance prédictive en entrepôt.

Miser sur la frugalité de l’IA

Engagé sur la performance de ses installations, Savoye entend s’appuyer sur différents algorithmes pour analyser la donnée, et permettre à ses clients de bénéficier d’un taux de disponibilité optimal de ses équipements. Et si l’IA classique se nourrit d’une très grande quantité de données pour y parvenir, il arrive parfois que certaines datas manquent sur, par exemple, les vibrations, la température et l’acoustique. Une problématique à laquelle répond la startup grenobloise spécialisée dans la conception et la vente de solutions hardware et de logiciels pour l’IA probabiliste depuis 2019 : « Très peu de données sont nécessaires dans une approche d’IA probabiliste. Notre solution se base avant tout sur l’expertise métier. La donnée vient en complément si elle est disponible. Nous sommes sur la frugalité de l’IA. Savoye dispose d’un important savoir-faire sur les machines qu’elle conçoit. Notre approche permet de capitaliser sur cette expertise métier et le fonctionnement physique que nous allons monitorer. Tout ce savoir est ensuite intégré dans le modèle d’IA probabiliste >> précise Raphael Frisch, CEO d’HawAI.tech.

Un entrepôt logistique intelligent, prédictif et sur-mesure

Démarré fin 2023, le projet fera dans un premier temps l’objet d’un inventaire de différents cas d’usages. Par la suite, des modèles d’IA y seront associés << Nous testerons la performance des modèles probabilistes et les comparerons à ceux du machine learning pour construire la meilleure offre de services en fonction des besoins. L’analyse sera multicritère : elle intègrera la performance, le niveau de données nécessaires mais également la frugalité des solutions. Un doctorant, supervisé par l’université de Grenoble Alpes, travaillera sur le sujet chez Savoye >> explique Aurélien Leguy, responsable innovation chez Savoye. Ce projet, d’une durée de trois ans, permettra également à Savoye d’aller plus loin dans ses innovations en se projetant sur l’entrepôt du futur. Un espace capable de prédire des situations et de s’adapter à ces dernières de façon anticipée << L’entrepôt de demain sera de plus en plus intelligent et spécifique. Sa performance ne sera plus seulement mesurée en flux par euro investi, mais aussi sur sa capacité à réduire les coûts énergétiques et de CO2 émis. Au-delà de Mopsos, nous avons d'autres projets en cours dans lesquels la data sera mise à profit pour permettre aux entrepôts d'anticiper les évolutions d'activité et de moduler leur pilotage en fonction du contexte et des contraintes futures >> conclut Aurélien Leguy. ● Savoye est un acteur mondial dans la conception, la fabrication et l'intégration de machines et de systèmes automatisés pour l'intralogistique et les solutions logicielles pour la supply chain.

Card image cap
Baromètre DLR/Asterès T3 2023

Solutions Manutention N°61 - janvier/février 2024 >>

Les entreprises de la distribution souffrent tandis que celles de la location et de la manutention affichent une nouvelle fois des taux de croissance élevés en glissement annuel.La croissance du chiffre d’affaires est inégale selon les métiers : les entreprises de la distribution de matériel de BTP connaissent un resserrement de leur activité de -3,2% en glissement annuel, celles de la location de matériel de BTP une croissance de 7,3% et celles de la distribution-location de matériel de manutention industriel et agricole affichent une croissance de 15,5%. Les résultats en glissement trimestriel reflètent un contexte économique défavorable pour les entreprises du DLR : le chiffre d’affaires des entreprises de location de matériel de BTP s’est resserré de -25,4%, celui des entreprises de distribution de matériel de -5,3%, alors que celui des entreprises de la manutention stagne avec une croissance de 0,1%.

Un trimestre compliqué pour le neuf et l’occasion

Alors qu’au trimestre dernier la baisse d’inflation incitait le client à se tourner vers le neuf et se détourner de l’occasion, au troisième trimestre, toutes les activités de la distribution connaissent un ralentissement, la première étant la vente de matériel d’occasion (-35%) suivi des pièces de rechange (-31%) et de la vente de matériel neuf (-26%).

Les difficultés d’accès au financement continuent d’inquiéter les chefs d’entreprise du secteur et le climat des affaires reste incertain avec l’hiver qui arrive

Les entreprises répondantes s’inquiètent des faibles commandes à l’aube du prochain hiver. Les conditions de financement toujours difficiles ont des effets négatifs sur le nombre de commandes. Les fortes dégradations météorologiques dues à l’hiver et aggravées par le dérèglement climatique contraindront d’autant plus les entreprises du DLR cet hiver.

Les prévisions des entreprises du DLR pour le T4 2023 sont encore plus pessimistes que le trimestre dernier et notamment pour les entreprises de la distribution

Les prévisions d’activité et d’embauche au T4 2023 sont très pessimistes pour les entreprises de la distribution de matériel de BTP. Les entreprises de la location restent optimistes sur leurs embauches et leur activité, avec légèrement plus de retenue que le trimestre dernier. ● La Fédération DLR a pour vocation de représenter, de promouvoir et de défendre les intérêts des entreprises des secteurs de la distribution, de la location et de la maintenance des matériels de construction et de manutention.

Card image cap
Baromètre DLR/Asterès T2 2023

Solutions Manutention N°60 - novembre/décembre 2023 >>

Les entreprises membres de DLR affichent des taux de croissance élevés en glissement annuel. La croissance du chiffre d’affaires est inégale selon les métiers : les entreprises de la distribution de matériel de BTP affichent une croissance de 11,6% en glissement annuel, celles de la location de matériel de BTP une croissance de 7,5% tandis que celles de la distribution-location de matériel de manutention industrielle et agricole affichent une croissance de 16,1%. En glissement trimestriel, le chiffre d’affaires des entreprises de location de matériel de BTP a augmenté de 4,9%, tandis que le chiffre d’affaires des entreprises de distribution de matériel de BTP et de celles de distribution-location de matériel de manutention industrielle et agricole ont diminué, respectivement de -0,1% et de -5,3%. Ces résultats trimestriels reflètent la saisonnalité de l’activité des entreprises de DLR.

Avec la baisse progressive de l’inflation, on observe un retour au neuf au détriment de l’occasion et de la location

Alors que l’inflation incitait les clients à préférer la location à l’achat, ou tout du moins l’occasion au neuf, un retour aux habitudes d’avant crise semble se dessiner. Que ce soit pour les entreprises de distribution de matériel de BTP ou pour les entreprises de distribution-location de matériel de manutention industrielle et agricole, ce sont les ventes de matériel neuf qui portent désormais la croissance, les ventes de matériel d’occasion étant en déclin. Les reports de l’achat vers le neuf se font également sentir sur le chiffre d’affaires de la location, qui se porte relativement moins bien que celui de la distribution.

La hausse des taux d’intérêt continue d’inquiéter les chefs d’entreprises du secteur et le climat des affaires reste incertain

Les entreprises répondantes s’inquiètent toujours de l’impact des hausses des taux passées et à venir sur leur activité. Des taux d’intérêt plus élevés rendent plus difficile l’accès au financement, et in fine à l’investissement, et sont également à l’origine d’un ralentissement dans l’immobilier et la construction. En parallèle, le recrutement continue de poser un problème. Quant aux JO, leur effet est à double tranchant : certains travaux s’accélèrent dans la région parisienne, mais de nombreux autres projets sont délaissés, au moins temporairement.

Les prévisions des entreprises de DLR pour le T3 2023 sont majoritairement pessimistes

Les prévisions d’activité et d’embauche au T3 2023 sont orientées à la baisse pour les entreprises de la distribution de matériel de BTP et les entreprises de location-distribution de matériel de manutention. Seuls les chefs d’entreprise de la location abordent le T3 avec optimisme. ● La Fédération DLR a pour vocation de représenter, de promouvoir et de défendre les intérêts des entreprises des secteurs de la distribution, de la location et de la maintenance des matériels de construction et de manutention.

Card image cap
Les chariots AGV en entrepôt

Solutions Manutention N°59 - septembre/octobre 2023 >>

Dans le précédent numéro (N°58 juillet/aout), vous avez pu découvrir la première partie de l’article sur Ron Farr, responsable solutions entrepôts chez le constructeur Yale, parlant des chariots à guidage automatique (AGV) d’aujourd’hui et de demain. Voici le volet 2, et fin.

Comment une plus grande intégration des AGV dans les entrepôts affecterait-elle les emplois dans l’industrie à l’avenir ?

La mise en œuvre d'équipements robotiques ne prive pas les opérateurs d'emplois de grande valeur. Au lieu de cela, l'utilisation de solutions automatisées peut aider les gestionnaires à faire face à la pénurie de main-d'œuvre et à freiner le roulement en libérant les employés pour qu'ils accèdent à des postes plus intéressants et significatifs. Les chariots robotisés permettent aux opérations logistiques d'effectuer des tâches répétitives de manière plus rentable, telles que le déplacement de palettes, le chargement/déchargement - ce qui permet d'économiser du temps et de l'argent. Cette interconnectivité s'étend également à l'infrastructure plus large de l'entrepôt : des capteurs sur les convoyeurs peuvent détecter les palettes à la fin de la ligne et demander à la solution robotique de collecter la palette et de la transporter vers son prochain emplacement. La robotique peut libérer les employés pour effectuer des tâches que les humains font le mieux. Le fait que des robots travaillent aux côtés d'humains tire parti des forces des deux pour rendre plus efficaces les tâches répétitives et les fonctions plus complexes à valeur ajoutée. Cela peut également offrir de nouvelles opportunités aux personnes ayant des limitations physiques pour faire partie intégrante du processus, car les robots peuvent déplacer l'inventaire vers les préparateurs et aider à maintenir le bon déroulement des opérations.

À quoi ressemble l'entrepôt du futur ?

À court et à long terme, les chariots élévateurs robotisés peuvent permettre de réaliser d'importantes économies liées à la main-d'œuvre, aux blessures, aux dommages et aux parcs d'équipements manuels. Cependant, le retour sur investissement n'est pas le seul attrait des chariots robotisés. De nombreux dirigeants choisissent des chariots élévateurs robotisés pour se prémunir contre les défis de main-d'œuvre à long terme et promouvoir l'évolutivité sans contraintes et volatilité de la main-d'œuvre. La conversion à une main-d'œuvre semi-autonome libère des travailleurs et des ressources tout en favorisant un fonctionnement prévisible et productif. Grâce aux avantages opérationnels et aux économies réalisées grâce à la robotique, les entreprises peuvent se concentrer sur la croissance et l'innovation.

Qu’y a-t-il d’autre à ajouter ?

Après avoir consulté nos clients, nous avons reconnu qu'un obstacle majeur à l'introduction de la robotique dans les entrepôts et les lignes de production est l'installation d'une infrastructure dédiée. En collaborant avec Balyo, Yale a pu produire une gamme de chariots qui utilisent les caractéristiques structurelles existantes pour générer leur propre carte, leur permettant de se localiser et de naviguer en temps réel. Il n'est pas nécessaire d'enterrer les fils dans le sol ou de monter des réflecteurs sur les murs, ce qui réduit le coût d'installation et élimine pratiquement l'entretien structurel en cours. La solution est entièrement connectée à l'environnement du client et peut être intégrée rapidement et facilement dans les processus actuels. ● Yale Lift Truck, fabricant de chariots élévateurs.

Card image cap
Les chariots AGV en entrepôt

Solutions Manutention N°58 - juillet/août 2023 >>

Ron Farr, responsable solutions entrepôts chez le constructeur Yale, parle des chariots à guidage automatique (AGV) d’aujourd’hui et de demain. Volet 1.

Les chariots robotisés aident les entreprises à faire face à la pénurie de mains-d’œuvre dans les entrepôts

La main-d'œuvre représente généralement 50 à 70 % du budget d'entreposage d'une entreprise, il est donc important d'utiliser judicieusement cette ressource limitée et coûteuse. Dans l'environnement actuel, une grave pénurie de main-d'œuvre et un taux de roulement élevé nécessitent des salaires plus élevés et des avantages sociaux concurrentiels afin d'embaucher et de retenir les employés. Ces conditions poussent les entreprises à évaluer soigneusement la façon dont elles utilisent la main-d'œuvre, en affectant les travailleurs qu'aux responsabilités les plus productives et en envisageant des alternatives pour les tâches répétitives de moindre valeur. En plus de la hausse des salaires, le cycle constant d'embauche et de "recyclage" des travailleurs peut encore gonfler les coûts d'exploitation. Et, bien que les périodes de formation des nouveaux employés varient, une chose demeure constante : la formation d'employés pas expérimentés ou non qualifiés coûte cher. Les chariots robotisés sont idéaux pour effectuer des tâches répétitives telles que le déplacement de palettes dans l'environnement de l'entrepôt et le chargement et déchargement. L’AGV gerbeur à contrepoids MC-10-15 offre un transfert économique et un flux régulier et constant, prenant en charge le réapprovisionnement des stocks et le transport des marchandises.

Les tâches en entrepôt les plus facilitées par l’utilisation de ce type de chariots

Bien que toutes les situations ne conviennent pas à la mise en place d’AGV, la technologie a évolué pour s'adapter à une gamme de tâches de transport horizontal et de stockage vertical dans de nombreux environnements. Les chariots élévateurs robotisés sont particulièrement bien adaptés pour gérer les tâches répétitives et les longs trajets. Ils peuvent être utilisés pour déplacer les produits finis de la chaîne de production vers le stockage/l'expédition, pour transporter les marchandises de la réception au rangement dans les rayonnages et pour transporter les matières premières vers la chaîne de production. Également, pour le réapprovisionnement du tunnel de prélèvement, les opérations de transbordement. Pour en tirer le meilleur parti, les entrepôts doivent évaluer quelles applications de leurs installations sont les mieux adaptées à l'automatisation. La suite de cet article dans le prochain numéro du magazine. ● Yale Lift Truck, fabricant de chariots élévateurs.